C'est en 1931, avec l’achat du Château Fonroque par Jean et Adèle Moueix, ses arrière-grands-parents, que débute en Libournais la saga de la famille d’Alain Moueix. A la tête de Fonroque depuis une dizaine d’années, cet ingénieur agricole et œnologue, trace son sillon «à l’écoute de la nature que l’homme, de passage, doit accompagner et respecter sans jamais vouloir la dominer» pour offrir un vin d’un élégant équilibre exprimant beaucoup de finesse et de fraîcheur. «Vigneron-Botaniste», Alain parle matière vivante et pérennité des sols avec art et modestie.
Considérant la culture biologique comme une nécessité, même si elle se révèle rapidement insuffisante, Alain a «décidé de faire un peu plus qu’un peu» en pratiquant la biodynamie : «avec elle, on nourrit et on protège la terre grâce à des substances organiques comme la prêle ou l’écorce de chêne». Alimenté de façon naturelle, le terroir s’exprime alors librement pour donner des vins authentiques et singuliers conjuguant fraîcheur et finesse. «Depuis que nous sommes en bio, le vin a changé. Les structures tanniques sont plus fines, plus élégantes. Il y a davantage de fraîcheur et plus d’expression du fruit avec le sentiment de pureté». «Pour peu qu’on veuille bien le voir, la vigne nous dit beaucoup de choses».
Il en est de même au cours de la fermentation : «c’est le début de la métamorphose, le moment où des arômes s’expriment. Quel bonheur !».
Personnage atypique, Alain pour qui «la plus belle des récompenses, c’est lorsque l’homme disparaît derrière son produit» est en parfaite harmonie avec son vignoble.
Considérant la culture biologique comme une nécessité, même si elle se révèle rapidement insuffisante, Alain a «décidé de faire un peu plus qu’un peu» en pratiquant la biodynamie : «avec elle, on nourrit et on protège la terre grâce à des substances organiques comme la prêle ou l’écorce de chêne». Alimenté de façon naturelle, le terroir s’exprime alors librement pour donner des vins authentiques et singuliers conjuguant fraîcheur et finesse. «Depuis que nous sommes en bio, le vin a changé. Les structures tanniques sont plus fines, plus élégantes. Il y a davantage de fraîcheur et plus d’expression du fruit avec le sentiment de pureté». «Pour peu qu’on veuille bien le voir, la vigne nous dit beaucoup de choses».
Il en est de même au cours de la fermentation : «c’est le début de la métamorphose, le moment où des arômes s’expriment. Quel bonheur !».
Personnage atypique, Alain pour qui «la plus belle des récompenses, c’est lorsque l’homme disparaît derrière son produit» est en parfaite harmonie avec son vignoble.