Terme apparu dans la langue française en 1120, il désignait à l'origine un serpent mythique dont le regard pouvait tuer, à moins qu'on ne l'ait aperçu le premier. Le mot vient du latin "basilicum" qui l'a emprunté au grec "basilikos" (petit roi). C'est en 1398 qu'on a commencé à l'employer pour désigner l'aromate, possiblement parce que, son arôme est tel, qu'il peut figurer sur la table des rois, ou qu'il faisait traditionnellement partie d'un médicament magistral. Aussi nommé "herbe royale", "oranger des savetiers", "herbe aux sauces", "pistou". Ce dernier mot, d'origine provençale, signifie broyer, piler, tout comme "pesto", son équivalent italien.
L’unique pesto de Gênes
En 2002, la région de Gênes fut proclamée "République du pesto" par les Cavalieri della Confraternita del Pesto (les Chevaliers de la confraternité du pesto). Ils obtenaient, pour leur produit, une dénomination d’origine contrôlée (D.O.C.). Le pesto, nommé "alla genovese" est, depuis toujours, préparé avec une variété de basilic qui pousse dans la région et une huile d’olive locale.
L’unique pesto de Gênes
En 2002, la région de Gênes fut proclamée "République du pesto" par les Cavalieri della Confraternita del Pesto (les Chevaliers de la confraternité du pesto). Ils obtenaient, pour leur produit, une dénomination d’origine contrôlée (D.O.C.). Le pesto, nommé "alla genovese" est, depuis toujours, préparé avec une variété de basilic qui pousse dans la région et une huile d’olive locale.
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